Le charango résonnera t il encore ?
Le charango jouera-t-il encore l'air du condor pasa ?
Cécilia chantera-t-elle encore la fin de la guerre du Vietnam?
Le son du Silence résonnera-t-il encor ?
Le pont au-dessus des eaux troubles ne s'écroulera-t-il pas un jour ?
Ne nous battons nous pas toujours ?
Le charango jouera-t-il encore l'air du condor pasa ?
© Pascal MONDA
25/07/20
MON FILS, MIO FIGLIO....
Mon fils,
Tu es un homme
maintenant et je suis fier de toi,
Surtout ne perds
plus jamais la foi,
Qui est en toi,
Je te l’ai donnée,
Par amour… il y a
18 ans..
Mon Fils,
Sois fort comme ton
nonno et ton arrière grand-père,
Des hommes de la
Terre,
Ne renie jamais d’où
tu viens,
Sois en fier,
Ta bonne Maman et
ton Bon Papa
Ont connu le Grand
Jacques,
Et étaient
adolescents comme toi après la guerre de 1940 !
Ils avaient tous
leurs caractères,
Leurs rires
résonnent encore en moi,
Et quand je te vois,
je repense à eux,
simples et heureux de vivre « Libres »
Certes ils avaient
travaillé dur,
Mais sache que dans
la vie, la grande aventure,
Que tu vas vivre,
Tu ne seras jamais
seul,
Toujours ils
veilleront sur toi tout comme moi…
ET peppy et Nonna,
Et je veux que tu
gardes la force que j’ai glissée en toi,
Car c’est celle
des CAVALLARO,
Notre famiglia et
ton arrière grand-père qui se prénommait comme moi,
Pasquale MONDA….
Garde foi en toi,
Mon fils, mon adoré…
Ne perdons guère de
temps à nous quereller,
Parlons des vérités
de l’avenir,
Car tu vas devoir te
battre,
Mais n’aies
crainte, je serai toujours là….
Mon fils,
Je suis fier de toi,
Ne l’oublies
jamais !!!
A toi,
Papa
24 juin 2020
Pascal MONDA
Lettre à l'amie retrouvée...
Ce matin-là, l’hiver battait son plein,
Marchant vers le soleil Égyptien !
Sur le pont, près du Grognon, toi, l’amie perdue dans le temps,
Je t’ai retrouvée,
L’amitié endormie s’est réveillée,
Comme un nouveau bourgeon au bout d’une branche que l’on croyait morte...
Toi, plus souriante que jamais,
Et moi, suspendu dans le ciel, funambule marchant en équilibre sur le fil de tes mots,
Nos silences avaient brûlés d’absence...
Mais depuis ce jour là, je ne puis m’empêcher de penser à notre amitié retrouvée...
L’avenir était là, au creux de nos chemins, de nos mains, à la croisée de nos destins,
Tes yeux étaient des diamants d’espoir,
Et tous deux, nous réchauffions nos cœurs dans ce matin d’hiver,
Pasquale MONDA
TEXTE ET PHOTOS
Namur, le 3 mars 2019
La nature est si belle maintenant qu'elle a repris ses droits.... photos au fil de mes balades
"Laissons nous porter par la Nature, elle est si belle, apprenons à plus la respecter, saisissons notre chance de la sauver, elle qui nous a tant donné..."
Pasquale Monda
Photos prises le long du halage de Namur à Wépion
3 Mai 2020
Photos personnelles
Le Ciel pleurait des Larmes Alcalines...
Le ciel pleurait des larmes alcalines,
Que mon cœur t'avait glissées
Sous tes paupières saupoudrées de bleu...
Mon âme laissait couler des gouttes d'eau chaude,
Que mon cœur épongeait sur tes douces lèvres amoureuses...
Mes yeux amoureux cherchaient les étoiles,
Tu te réveillais peu à peu et mes rêves avaient éclaté...
Mon corps frémissait sous les caresses de tes tendres mains...
J'espérais embrasser tes seins et je dessinais tes courbes onduleuses du bout de mes doigts ...
Pascal Monda
1er Mai 2020
Photo tirée du web.
La femme et la pluie....
Quand tu es loin de moi,
Je suis si près de toi,
En pensées et en rêves,
Et mon cœur bat de bonheur...
Quand il pleut sur mon toit,
La pluie me parle de toi tout bas,
Je te revois,
Les cheveux longs noirs, couleur jais,
Collés sur tes épaules,
Et ta chemise blanche laissant transparaître,
La pointe de tes jolis petits seins blancs d'albâtre...
A toi,
Pasquale Monda
Namur le 26 avril 2020
Photo de Mme Carole Richter
Poétesse et photographe d'art...
JE VEUX CROIRE....
Je veux croire encore en l'Amour,
Celui qui vous vient,là, alors que vous ne l’attendiez pas,
Celui qui vous fait battre dans le cœur,
Les sentiments du bonheur...
Je veux croire encore en l'Amour,
Pas celui qui rime avec toujours,
Mais qui vibre jour après jour,
En vous, tout simplement...
Je veux croire encore en l'Amour,
Peu m'importe l'alizée qui me l'apporte,
Tant qu'il rime avec sincérité,
Et vérité...
Je veux croire en cet Amour,
Libre et généreux,
Loin d'être Fol,
Mais bien réel...
Je veux croire encore en l'Amour,
Celui qui rend jeune, et fort,
Dans ce monde d'égoïsmes,
Et de plaisirs si volatiles...
Je veux croire encore en cet Amour naissant,
Mais qui parfois me fait encore peur,
Moi qui aime les fleurs,
A la fois, parfumées et colorées,
De rouge sang...
Je voudrais encore tellement croire en l'Amour...
Pascal Monda
Namur le 21/04/2020
Poème écrit dans le silence de la nuit...
Celui qui vous vient,là, alors que vous ne l’attendiez pas,
Celui qui vous fait battre dans le cœur,
Les sentiments du bonheur...
Je veux croire encore en l'Amour,
Pas celui qui rime avec toujours,
Mais qui vibre jour après jour,
En vous, tout simplement...
Je veux croire encore en l'Amour,
Peu m'importe l'alizée qui me l'apporte,
Tant qu'il rime avec sincérité,
Et vérité...
Je veux croire en cet Amour,
Libre et généreux,
Loin d'être Fol,
Mais bien réel...
Je veux croire encore en l'Amour,
Celui qui rend jeune, et fort,
Dans ce monde d'égoïsmes,
Et de plaisirs si volatiles...
Je veux croire encore en cet Amour naissant,
Mais qui parfois me fait encore peur,
Moi qui aime les fleurs,
A la fois, parfumées et colorées,
De rouge sang...
Je voudrais encore tellement croire en l'Amour...
Pascal Monda
Namur le 21/04/2020
Poème écrit dans le silence de la nuit...
Mesdames, Mesdemoiselles...
Mesdames, Mesdemoiselles,
Ah ! Que vous étiez belles,
Jeunes, jolies, sensuelles mais si cruelles,
Ah ! Que de nuits où les corps exultaient,
Pour grimper aux septièmes cieux...
Vous allumiez le feu, les flammes et vous en faisiez un jeu !
Allant de cœurs en cœurs,
Nous faisant croire aux joies d'un bonheur, menteur !
Mais vous ne saviez pas que la beauté n'était qu'intérieure et bien plus chaleureuse,
Que vous ! Mesdames, Mesdemoiselles !
Ah ! Que vous étiez belles et pourtant si superficielles,
Entreprenantes, rarement timides faussement gentilles,
Vous nous parliez d'amour, mais ce n'étaient qu'illusions,
De charmes dévoilés, sans pudeur, sans cœur ni signe de vrais bonheurs !
Mesdames, Mesdemoiselles !
Alors, si vous êtes de ce genre là, sans gênes ni vergogne,
Passez votre chemin...
Mon cœur n'est plus à prendre...
Je persiste et signe, je m'appelle Pascal Monda....
Namur, le 18/04/2020
Ah ! Que vous étiez belles,
Jeunes, jolies, sensuelles mais si cruelles,
Ah ! Que de nuits où les corps exultaient,
Pour grimper aux septièmes cieux...
Vous allumiez le feu, les flammes et vous en faisiez un jeu !
Allant de cœurs en cœurs,
Nous faisant croire aux joies d'un bonheur, menteur !
Mais vous ne saviez pas que la beauté n'était qu'intérieure et bien plus chaleureuse,
Que vous ! Mesdames, Mesdemoiselles !
Ah ! Que vous étiez belles et pourtant si superficielles,
Entreprenantes, rarement timides faussement gentilles,
Vous nous parliez d'amour, mais ce n'étaient qu'illusions,
De charmes dévoilés, sans pudeur, sans cœur ni signe de vrais bonheurs !
Mesdames, Mesdemoiselles !
Alors, si vous êtes de ce genre là, sans gênes ni vergogne,
Passez votre chemin...
Mon cœur n'est plus à prendre...
Je persiste et signe, je m'appelle Pascal Monda....
Namur, le 18/04/2020
A TOI MON ETOILE DU JOUR.....
Il y a des étoiles du jour,
Et celles de la nuit,
Comme les lucioles,
Toi, tu es mon étoile du jour,
Qui est bien visible,
Le jour comme la nuit,
Toi, tu viens pour le printemps,
J'entends déjà le son de ta voix,
Signe que l'hiver s'en ira plus vite,
Que l'année l'année passée,
je sens en moi ta voix comme le chant des oiseaux,
qui sont revenus et font leurs nids,
signe que renaît la vie,
Tout au fond de moi...
Toi, tu es et seras mon étoile,
Bien visible à mes yeux et à mon coeur,
De jour comme de nuit...
Pasquale Monda
15/04/2020
Et celles de la nuit,
Comme les lucioles,
Toi, tu es mon étoile du jour,
Qui est bien visible,
Le jour comme la nuit,
Toi, tu viens pour le printemps,
J'entends déjà le son de ta voix,
Signe que l'hiver s'en ira plus vite,
Que l'année l'année passée,
je sens en moi ta voix comme le chant des oiseaux,
qui sont revenus et font leurs nids,
signe que renaît la vie,
Tout au fond de moi...
Toi, tu es et seras mon étoile,
Bien visible à mes yeux et à mon coeur,
De jour comme de nuit...
Pasquale Monda
15/04/2020
IL PLEURE SUR LA VILLE MORTE...
Il pleure sur la ville morte...
Il pleut sur la ville morte,
Comme une vieille Romance,
Au printemps qui commence...
Il pleut, et le vent chasse la pluie,
Sur les toits des maisons, où est recluse toute vie,
Dans un matin des plus silencieux...
Il pleut, et mes espoirs d’amour sont tout à fait morts,
Comme un très vieux chêne que l’on va abattre,
Pour faire un feu de joie...
Il pleut, mais les beaux jours s’avancent,
Dans les jours de la chance,
Toujours et encore à venir...
Il pleut, mais la Citadelle de Vauban tient bon !
Dominant son éternel Grognon,
Où s’agitent les pantins, d’un avenir mafieux et douteux...
Il pleut, et mon cœur pleure pour tous ces manants,
Qui n’ont qu’une croûte de pain sec et dur,
Pour unique pitance et unique chagrin...
Il pleut, sur la ville mortellement endormie,
Dans ses temps dangereux où rôde la Faucheuse comme la Peste et le Choléra autrefois...
Pascal Monda - CHR le 21/03/2020.
Il pleut sur la ville morte,
Comme une vieille Romance,
Au printemps qui commence...
Il pleut, et le vent chasse la pluie,
Sur les toits des maisons, où est recluse toute vie,
Dans un matin des plus silencieux...
Il pleut, et mes espoirs d’amour sont tout à fait morts,
Comme un très vieux chêne que l’on va abattre,
Pour faire un feu de joie...
Il pleut, mais les beaux jours s’avancent,
Dans les jours de la chance,
Toujours et encore à venir...
Il pleut, mais la Citadelle de Vauban tient bon !
Dominant son éternel Grognon,
Où s’agitent les pantins, d’un avenir mafieux et douteux...
Il pleut, et mon cœur pleure pour tous ces manants,
Qui n’ont qu’une croûte de pain sec et dur,
Pour unique pitance et unique chagrin...
Il pleut, sur la ville mortellement endormie,
Dans ses temps dangereux où rôde la Faucheuse comme la Peste et le Choléra autrefois...
Pascal Monda - CHR le 21/03/2020.
La femme à la robe et au parfum de lilas....
Lorsque je la vis pour la première fois,
Elle marchait tranquillement devant moi,
Ses cheveux d'or dégoulinant sur ses épaules,
Elle portait une robe, légère, à fleurs...
Elle était pareille à une rose...
J'aurais aimé la prendre par la main, puis la prendre par la taille dans mes bras, et l'embrasser tendrement...
Et qui sait, un jour l'enlacer d'amour...
Lorsque je la vis pour la première fois,
Je respirai son parfum de femme-fleur, qui emplit mon cœur de bonheur...
Il se mit à battre la chamade...
Je renaissais enfin au printemps de l'amour et aux senteurs des lilas...
Elle portait une robe à fleurs...
11/04/2020
Pascal Monda
Elle marchait tranquillement devant moi,
Ses cheveux d'or dégoulinant sur ses épaules,
Elle portait une robe, légère, à fleurs...
Elle était pareille à une rose...
J'aurais aimé la prendre par la main, puis la prendre par la taille dans mes bras, et l'embrasser tendrement...
Et qui sait, un jour l'enlacer d'amour...
Lorsque je la vis pour la première fois,
Je respirai son parfum de femme-fleur, qui emplit mon cœur de bonheur...
Il se mit à battre la chamade...
Je renaissais enfin au printemps de l'amour et aux senteurs des lilas...
Elle portait une robe à fleurs...
11/04/2020
Pascal Monda
Les mots damour tués d'un seul coup...
Je ne t'écrirai plus,
Je ne te parlerai plus,
Je ne t'écouterai plus,
Tu as joué les grands cœurs,
Comme tu savais si bien le faire,
Et le faire croire...
Et me faire croire à l'espoir...
Comme dans toute notre histoire,
Illusions d'amitié,
Silence que tu adores, comme de l'or,
Tes mots ont tué, d'un coup de ton cœur empli de béton,
mes vers, dont tu n'as plus rien à faire,
Alors que tu voulais encore être mon amie...
Je ne crois plus en tes paroles qui sonnent faux dans ta bouche...
De toi, je ne veux plus rien savoir...
C'est petit, tout petit...
que de temps perdu pour rien,
alors que tu disais m'aimer,
Pourtant autrefois tu me l'avais prouvé,
Ton orgueil mal placé, n'a pas supporté que je te dise tes vérités,
Et ton mutisme et égoïsme a eu raison de mon amour...
Laisse moi, faire mon deuil, et sache que tu finiras toute seule..
Tu n'as même plus voulu écouter ni lire, mes promesses d'un nouveau départ...
En fait, tu as montré ton vrai visage et ton âme de femme pourrie gâtée, que tu cachais bien au fond de toi...
Merci pour ton éternelle gentillesse et tes mots coupants, durs, et blessants,
Je ne veux pas d'une amitié, fausse et illusoire...
Je ne veux plus te parler,
Ni t'écrire, ni entendre même le souffle de ta voix...
Oublie moi, comme tu le fais déjà si bien...
A vous, Madame !
je persiste et signe, je m'appelle Pascal Monda...
08/04/2020
Je ne te parlerai plus,
Je ne t'écouterai plus,
Tu as joué les grands cœurs,
Comme tu savais si bien le faire,
Et le faire croire...
Et me faire croire à l'espoir...
Comme dans toute notre histoire,
Illusions d'amitié,
Silence que tu adores, comme de l'or,
Tes mots ont tué, d'un coup de ton cœur empli de béton,
mes vers, dont tu n'as plus rien à faire,
Alors que tu voulais encore être mon amie...
Je ne crois plus en tes paroles qui sonnent faux dans ta bouche...
De toi, je ne veux plus rien savoir...
C'est petit, tout petit...
que de temps perdu pour rien,
alors que tu disais m'aimer,
Pourtant autrefois tu me l'avais prouvé,
Ton orgueil mal placé, n'a pas supporté que je te dise tes vérités,
Et ton mutisme et égoïsme a eu raison de mon amour...
Laisse moi, faire mon deuil, et sache que tu finiras toute seule..
Tu n'as même plus voulu écouter ni lire, mes promesses d'un nouveau départ...
En fait, tu as montré ton vrai visage et ton âme de femme pourrie gâtée, que tu cachais bien au fond de toi...
Merci pour ton éternelle gentillesse et tes mots coupants, durs, et blessants,
Je ne veux pas d'une amitié, fausse et illusoire...
Je ne veux plus te parler,
Ni t'écrire, ni entendre même le souffle de ta voix...
Oublie moi, comme tu le fais déjà si bien...
A vous, Madame !
je persiste et signe, je m'appelle Pascal Monda...
08/04/2020
LORSQUE LE CORPS SE MEURT...
LORSQUE LE CORPS...
Lorsque le corps n’exulte plus
Est-ce que l''amour se meurt ?
Lorsque le corps ne s’émeut plus
Est-ce que l’amour est mort ?
Lorsque le corps ne répond plus
Est-ce que l’amour est en train de mourir?
Lorsque la petite bougie s’éteint peu à peu
Que l’on met ses mains pour qu’elle continue de veiller,
Est-ce que sa flamme chaude peut se raviver ?
Lorsque la passion s’est endormie avec la migraine,
Peut-on encore se permettre de la réveiller ?
Lorsque le temps a érodé toute émotion et assassiné les sentiments,
D''orages en ouragans et de tempêtes en tornades,
Peut-on encore prendre la mer ? alors que se prépare un tsunami?
Lorsque le corps ne chante plus, même plus : O Sole Mio !
Que reste-t-il de «l''AMORE» ?
Vous, votre majesté, vous avez guillotiné ce qu’il me restait de tendresse,
Chassé toutes mes caresses...
Et avant cela, vous avez joui et pris votre plaisir à me rendre
Le Castra de l'Amour...
Lorsque le corps...
Pascal Monda
06/04/2020
Lorsque le corps n’exulte plus
Est-ce que l''amour se meurt ?
Lorsque le corps ne s’émeut plus
Est-ce que l’amour est mort ?
Lorsque le corps ne répond plus
Est-ce que l’amour est en train de mourir?
Lorsque la petite bougie s’éteint peu à peu
Que l’on met ses mains pour qu’elle continue de veiller,
Est-ce que sa flamme chaude peut se raviver ?
Lorsque la passion s’est endormie avec la migraine,
Peut-on encore se permettre de la réveiller ?
Lorsque le temps a érodé toute émotion et assassiné les sentiments,
D''orages en ouragans et de tempêtes en tornades,
Peut-on encore prendre la mer ? alors que se prépare un tsunami?
Lorsque le corps ne chante plus, même plus : O Sole Mio !
Que reste-t-il de «l''AMORE» ?
Vous, votre majesté, vous avez guillotiné ce qu’il me restait de tendresse,
Chassé toutes mes caresses...
Et avant cela, vous avez joui et pris votre plaisir à me rendre
Le Castra de l'Amour...
Lorsque le corps...
Pascal Monda
06/04/2020
MERCI L'HIVER
Merci à toi, l'hiver, tu peux être fier,
Même si tu as mis du temps à venir,
Ton soleil a mis du baume sur notre avenir,
La nature a repris ses droits,
On a vu des envolées de cigognes,
Des vols d'oies en couple, ou en groupe,
Et le merle qui chante toujours en premier,
Sans parler des petites mésanges charbonnières...
Merci à toi l'hiver,
Tu prépares le printemps à ton aise,
Surtout prends tout ton temps,
l'année 2020 et son coronavirus ont contaminé le monde entier,
la faucheuse des temps passés est revenue, sans crier gare...
Toutes les villes d'Europe, sont des villes mortes,
Interdiction formelle de sortir de chez soi,
Sauf pour aller se ravitailler en nourriture et aller à la pharmacie,
Temps de crise mondiale et d'une guerre bactériologique !
Que deviennent nos petits vieux et nos enfants ?
Bien plus fragiles que nous !
Et mon beau pays, l'Italie, de la Rome Antique, de Florence, de Rome, de Naples et de son majestueux Vésuve ne ressemblera plus jamais à ce qu'il était...
Son vin rouge, aux tanins forts et mauves sera-t-il encore le même ?
Mais ce que je sais, c'est que mon pays se relèvera non grâce à ses politiciens,
mais au sens d'entraide et de partage familial de la vie...
Le plat Pays renaîtra, mais se divisera à cause de la bête noire, heureusement que nous sommes devenus solidaires nous les enfants d'immigrés de la première génération et que malgré le manque de travail nous gardons le moral...
Merci sieur l'Hiver...
Pasquale Monda
30 mars 2020
Même si tu as mis du temps à venir,
Ton soleil a mis du baume sur notre avenir,
La nature a repris ses droits,
On a vu des envolées de cigognes,
Des vols d'oies en couple, ou en groupe,
Et le merle qui chante toujours en premier,
Sans parler des petites mésanges charbonnières...
Merci à toi l'hiver,
Tu prépares le printemps à ton aise,
Surtout prends tout ton temps,
l'année 2020 et son coronavirus ont contaminé le monde entier,
la faucheuse des temps passés est revenue, sans crier gare...
Toutes les villes d'Europe, sont des villes mortes,
Interdiction formelle de sortir de chez soi,
Sauf pour aller se ravitailler en nourriture et aller à la pharmacie,
Temps de crise mondiale et d'une guerre bactériologique !
Que deviennent nos petits vieux et nos enfants ?
Bien plus fragiles que nous !
Et mon beau pays, l'Italie, de la Rome Antique, de Florence, de Rome, de Naples et de son majestueux Vésuve ne ressemblera plus jamais à ce qu'il était...
Son vin rouge, aux tanins forts et mauves sera-t-il encore le même ?
Mais ce que je sais, c'est que mon pays se relèvera non grâce à ses politiciens,
mais au sens d'entraide et de partage familial de la vie...
Le plat Pays renaîtra, mais se divisera à cause de la bête noire, heureusement que nous sommes devenus solidaires nous les enfants d'immigrés de la première génération et que malgré le manque de travail nous gardons le moral...
Merci sieur l'Hiver...
Pasquale Monda
30 mars 2020
LE RIRE DES ENFANTS...
Le rire d'un enfant est un rayon de soleil,
Comme des perles de merveilles,
Le rire d'une enfant est naturel,
Il ne cache rien, comme celui faux des adultes...
Le rire d'un enfant libère et nous fait sourire,
Nulle frontières entre eux,nulles barrières,
Pourtant il y a toujours un plus faible à qui l'on fait des misères...
Le rire d'une enfant est fragile, et proche des larmes,
Mais quand la grand-mère est là, l'arc-en-ciel n'est jamais loin...
Et parfois, l'amour s'en mêle, et viennent les déchirures, qui d'aventures en aventures, vous ôtent votre sourire d'enfant toute votre vie...
Et quand vous avez des enfants, que l'on vous vole,
Tout est toujours à refaire, et votre coeur de père,
Saigne à perdre son souffle, il faut alors se faire un cœur de pierre...
Mais il ya tant d'enfants qui ont la joie en eux,
Que cela me console... leurs yeux sont plein d'espoirs...
Pascal MONDA
27 mars 2020
Comme des perles de merveilles,
Le rire d'une enfant est naturel,
Il ne cache rien, comme celui faux des adultes...
Le rire d'un enfant libère et nous fait sourire,
Nulle frontières entre eux,nulles barrières,
Pourtant il y a toujours un plus faible à qui l'on fait des misères...
Le rire d'une enfant est fragile, et proche des larmes,
Mais quand la grand-mère est là, l'arc-en-ciel n'est jamais loin...
Et parfois, l'amour s'en mêle, et viennent les déchirures, qui d'aventures en aventures, vous ôtent votre sourire d'enfant toute votre vie...
Et quand vous avez des enfants, que l'on vous vole,
Tout est toujours à refaire, et votre coeur de père,
Saigne à perdre son souffle, il faut alors se faire un cœur de pierre...
Mais il ya tant d'enfants qui ont la joie en eux,
Que cela me console... leurs yeux sont plein d'espoirs...
Pascal MONDA
27 mars 2020
LES SENTIMENTS
les sentiments grandissent avec nous,
ils nous rendent heureux ou malheureux,
Surtout si l'on tombe amoureux,
Les sentiments peuvent durer des années,
Et se terminer par l'indifférence ou le laisser aller,
IL se logent dans l'âme et le cœur,
D'habitude ils fleurissent le bonheur,
Mais quand la cassure est inévitable,
Les cœurs se déchirent, et les mots se meurent,
l'amitié est alors seule encore possible...
L'espérance est inutile, et les paroles sont cassantes et dures...
IL faut pouvoir faire son deuil, et noyer ses illusions,
les sentiments peuvent être si proches un temps,
Et mourir dans l'absence et le silence...
Reviennent les vrais sentiments,
le printemps n'est plus loin...
Pascal Monda
26/03/2020
ils nous rendent heureux ou malheureux,
Surtout si l'on tombe amoureux,
Les sentiments peuvent durer des années,
Et se terminer par l'indifférence ou le laisser aller,
IL se logent dans l'âme et le cœur,
D'habitude ils fleurissent le bonheur,
Mais quand la cassure est inévitable,
Les cœurs se déchirent, et les mots se meurent,
l'amitié est alors seule encore possible...
L'espérance est inutile, et les paroles sont cassantes et dures...
IL faut pouvoir faire son deuil, et noyer ses illusions,
les sentiments peuvent être si proches un temps,
Et mourir dans l'absence et le silence...
Reviennent les vrais sentiments,
le printemps n'est plus loin...
Pascal Monda
26/03/2020
LES VOLEURS D'AMITIÉ
Les voleurs d'amitié, viennent vers vous,vous attrapant dans leurs filets,
D'un humour salace, ils parviennent à vous faire croire n'importe quoi,
En une minute, il prétendent qu'ils sont vos amis pour la vie,et
Si vous n'êtes pas prudents, ils feront de vous leur marionnettes..
Les voleurs d'amitié, vous volent ce que vous avez de fort précieux,
Comme une alliance, témoigne de l'amour que vous portez, à votre compagne,
Ils volent votre amitié, votre confiance, et si vous n'êtes pas vigilant,
ils vous volent de l'argent, que vous leur aviez prêté avec promesses de retour
Et ils flambent, tout leur argent dans des machines à sous, et s'adonnent,
A la boisson, avec passion, ou par dépression,
Et si vous ne criez pas gare à temps,
Ils sont capables de tout pour avoir de quoi boire.
Les voleurs d'amitié, sont des rapaces voraces,
Et profitent de votre bon cœur, de ce qu’ils disent être votre ami,
De plus, ils peuvent se montrer violents,
Tout est prétexte à la bagarre,
Ils se disent être votre ami, mais la réalité des choses,
Les rattrapent, Ils finissent par vous montrer leur état physique,
Et leur addiction à la bière, à l’alcool..
Les voleurs d'amitié sont des rapaces voraces...
Le 27 février 2020
Pascal Monda
D'un humour salace, ils parviennent à vous faire croire n'importe quoi,
En une minute, il prétendent qu'ils sont vos amis pour la vie,et
Si vous n'êtes pas prudents, ils feront de vous leur marionnettes..
Les voleurs d'amitié, vous volent ce que vous avez de fort précieux,
Comme une alliance, témoigne de l'amour que vous portez, à votre compagne,
Ils volent votre amitié, votre confiance, et si vous n'êtes pas vigilant,
ils vous volent de l'argent, que vous leur aviez prêté avec promesses de retour
Et ils flambent, tout leur argent dans des machines à sous, et s'adonnent,
A la boisson, avec passion, ou par dépression,
Et si vous ne criez pas gare à temps,
Ils sont capables de tout pour avoir de quoi boire.
Les voleurs d'amitié, sont des rapaces voraces,
Et profitent de votre bon cœur, de ce qu’ils disent être votre ami,
De plus, ils peuvent se montrer violents,
Tout est prétexte à la bagarre,
Ils se disent être votre ami, mais la réalité des choses,
Les rattrapent, Ils finissent par vous montrer leur état physique,
Et leur addiction à la bière, à l’alcool..
Les voleurs d'amitié sont des rapaces voraces...
Le 27 février 2020
Pascal Monda
L'Amour
L'amour
L'amour nous est donné d'abord par nos parents, notre famille, nos amis,
Il grandit peu à peu dans nos cœurs d'enfants,
Il 'emballe à l'adolescence sous les fruits de jouvence,
Puis grandissant toujours il s'heurte à la vie,
Il met parfois du temps à trouver l'élue,
Celle qui s'offrira et donnera peut-être des enfants,
Mais il y aura des pleurs et des chagrins d'amour,
La vie ne nous épargne jamais,
L'amour des siens, est essentiel,
Même si dans certaines familles c'est tout le contraire,
La vie éclate les cercles de famille,
Sauf s'il a été protégé, partagé, soigné et cajolé,
Et le temps nous éloigne tous,
Parfois des disputes éclatent pour de bonnes ou mauvaises raisons, alors le silence se fait roi.
L'amour, il n'y a rien de plus beau entre des amants, des amoureux.
Au printemps de leur vie, tout leur est permis,
A l'été de leur vie, leur complicité est leur meilleure arme,
A l'automne de leur vie, c'est la tendresse,
Le temps passe si vite.
Et d'autres vont de déceptions en déceptions,
Et finissent par aimer leur solitude.
L'Amour est si beau, ne le gâchons pas...
© Pascal Monda
05/02/2020
L'amour nous est donné d'abord par nos parents, notre famille, nos amis,
Il grandit peu à peu dans nos cœurs d'enfants,
Il 'emballe à l'adolescence sous les fruits de jouvence,
Puis grandissant toujours il s'heurte à la vie,
Il met parfois du temps à trouver l'élue,
Celle qui s'offrira et donnera peut-être des enfants,
Mais il y aura des pleurs et des chagrins d'amour,
La vie ne nous épargne jamais,
L'amour des siens, est essentiel,
Même si dans certaines familles c'est tout le contraire,
La vie éclate les cercles de famille,
Sauf s'il a été protégé, partagé, soigné et cajolé,
Et le temps nous éloigne tous,
Parfois des disputes éclatent pour de bonnes ou mauvaises raisons, alors le silence se fait roi.
L'amour, il n'y a rien de plus beau entre des amants, des amoureux.
Au printemps de leur vie, tout leur est permis,
A l'été de leur vie, leur complicité est leur meilleure arme,
A l'automne de leur vie, c'est la tendresse,
Le temps passe si vite.
Et d'autres vont de déceptions en déceptions,
Et finissent par aimer leur solitude.
L'Amour est si beau, ne le gâchons pas...
© Pascal Monda
05/02/2020
Les Nuits et la Lumière
Quand l'hiver ouvre sa porte à lumière,
De jour en jour, et que les journées s'allongent peu à peu,
Mes nuits se raccourcissent,
Et mon lit devient un quai de gare où passent les trains de marchandises,
Le sommeil s'en est allé vite fait,
Et cela se passe aussi au printemps,
Avec la montée de la sève dans les arbres...
Je suis lié à la nature, à ses changements,
Comme nombreux d'entre nous,
Certains dépriment, d'autres sont gais,
Tout est lié sur notre planète bleue,
Certains s'entêtent à ne pas le croire,
Et agissent en égoïstes...
Mais ce qu'ils ne veulent pas croire,
C'est que le temps les rattrapera ...
Quand l'hiver ouvre sa porte à la lumière, de jour en jour, mes nuits se raccourcissent...
Et la nature m'a fait ainsi...
Pascal Monda
03/02/2020
De jour en jour, et que les journées s'allongent peu à peu,
Mes nuits se raccourcissent,
Et mon lit devient un quai de gare où passent les trains de marchandises,
Le sommeil s'en est allé vite fait,
Et cela se passe aussi au printemps,
Avec la montée de la sève dans les arbres...
Je suis lié à la nature, à ses changements,
Comme nombreux d'entre nous,
Certains dépriment, d'autres sont gais,
Tout est lié sur notre planète bleue,
Certains s'entêtent à ne pas le croire,
Et agissent en égoïstes...
Mais ce qu'ils ne veulent pas croire,
C'est que le temps les rattrapera ...
Quand l'hiver ouvre sa porte à la lumière, de jour en jour, mes nuits se raccourcissent...
Et la nature m'a fait ainsi...
Pascal Monda
03/02/2020
Les souvenirs heureux
Les souvenirs heureux sont gravés dans nos mémoires,
Leur histoire esquisse encore des sourires sur nos visages,
Alors le bonheur n'est jamais loin,
Il faut les laisser comme des messagers du passé,
Car ils nous ramènent souvent dans notre enfance, notre jeunesse,
Il faut se laisser aller à la liesse,
Oublier le présent, le futur...
Arrêter le temps ne fusse qu'une seconde, une minute...
Les souvenirs heureux nous rapportent la joie de vivre,
Souvent l'on repense aux fêtes de famille,
Aux fêtes avec les copains, les copines....
L'amitié n'est alors jamais loin,
On repense à son destin,
L'amour est bien présent aussi,
Il lui suffit parfois de la flagrance d'un parfum...
Les souvenirs heureux nous parlent d'un temps révolu, mais le rend vivant, nous rend vivants...
Pascal Monda
1er Février 2020
Leur histoire esquisse encore des sourires sur nos visages,
Alors le bonheur n'est jamais loin,
Il faut les laisser comme des messagers du passé,
Car ils nous ramènent souvent dans notre enfance, notre jeunesse,
Il faut se laisser aller à la liesse,
Oublier le présent, le futur...
Arrêter le temps ne fusse qu'une seconde, une minute...
Les souvenirs heureux nous rapportent la joie de vivre,
Souvent l'on repense aux fêtes de famille,
Aux fêtes avec les copains, les copines....
L'amitié n'est alors jamais loin,
On repense à son destin,
L'amour est bien présent aussi,
Il lui suffit parfois de la flagrance d'un parfum...
Les souvenirs heureux nous parlent d'un temps révolu, mais le rend vivant, nous rend vivants...
Pascal Monda
1er Février 2020
Le silence s'est tu...
Le silence s'est tu...
La nature s'est réveillée,
Sous la lumière renaissante, et les jours qui s'allongent,
Même si l'hiver n'est pas terminé,
Le printemps chante déjà dans mon coeur,
La promesse d'un nouvel amour est bien là,
Et Cabrel qui chante à la radio me redonne espoir et joies...
Le silence se meurt,
Place au bonheur,
Mais mon coeur ne t'emballe pas,
Souviens toi, la douleur qui t'avait perforé presque les poumons au point de manquer presque d'air...
Le silence, prends bien peur,
Car les paroles du coeur sont revenues à moi,
Fussent elles vraies, ajourd'hui,
Car je reviens à la vie...
Et mon sang italien n'a fait qu'un tour,
Nous qui avons le sens de la famille, de l'amitié,
Et des amours chauds et sensuels,
Peu importe, la vie m'est revenue, en douceur,
Silence tais tais toi, enfuis toi....
Le silence s'est tu finalement...
Pascal Monda
31/01/2020
La nature s'est réveillée,
Sous la lumière renaissante, et les jours qui s'allongent,
Même si l'hiver n'est pas terminé,
Le printemps chante déjà dans mon coeur,
La promesse d'un nouvel amour est bien là,
Et Cabrel qui chante à la radio me redonne espoir et joies...
Le silence se meurt,
Place au bonheur,
Mais mon coeur ne t'emballe pas,
Souviens toi, la douleur qui t'avait perforé presque les poumons au point de manquer presque d'air...
Le silence, prends bien peur,
Car les paroles du coeur sont revenues à moi,
Fussent elles vraies, ajourd'hui,
Car je reviens à la vie...
Et mon sang italien n'a fait qu'un tour,
Nous qui avons le sens de la famille, de l'amitié,
Et des amours chauds et sensuels,
Peu importe, la vie m'est revenue, en douceur,
Silence tais tais toi, enfuis toi....
Le silence s'est tu finalement...
Pascal Monda
31/01/2020
L'attente
L'attente...
Elle vous prend un jour au détour d'un amour déchu,
Vous vous croyez fichu,
Abandonné et la désespérance vous brise le coeur,
Vous repensez malgré vous aux bonheurs perdus,
Alors vous reprenez la route, non sans mal,
Car les ombres de la solitude vous hantent maintenant,
L'attente d'un nouvel amour vous vient alors,
Comme l'envol d'une colombe au printemps,
Comme les journées qui allongent nos pas et nos jours,
C'est là aussi qu'une crise peut vous faire replonger,
Mais l'espoir je veux garder,
Peu importe le temps que cela prendra,
Je sais que le grand jour viendra,
Et que l'attente s'éteindra,
Comme les braises d'un feu qui s'éteint...
L'attente s'éteindra un beau jour de printemps...
Pascal Monda
30 janvier 2020
Elle vous prend un jour au détour d'un amour déchu,
Vous vous croyez fichu,
Abandonné et la désespérance vous brise le coeur,
Vous repensez malgré vous aux bonheurs perdus,
Alors vous reprenez la route, non sans mal,
Car les ombres de la solitude vous hantent maintenant,
L'attente d'un nouvel amour vous vient alors,
Comme l'envol d'une colombe au printemps,
Comme les journées qui allongent nos pas et nos jours,
C'est là aussi qu'une crise peut vous faire replonger,
Mais l'espoir je veux garder,
Peu importe le temps que cela prendra,
Je sais que le grand jour viendra,
Et que l'attente s'éteindra,
Comme les braises d'un feu qui s'éteint...
L'attente s'éteindra un beau jour de printemps...
Pascal Monda
30 janvier 2020
L'AMITIE
L'amitié...
C'est un sentiment noble qui naît entre deux personnes, entre deux hommes ou une femme et un homme...
Elle naît au gré des chemins de la vie,
D'une parole, d'un sourire ou d'un partage,
D'un repas frugal, d'une agape...
Elle vous surprend parfois et vient vers vous au moment où vous ne l'attendiez pas,
Et avec le temps, elle est comme un arbre, qui vibre au gré des saisoins, et qui grandit sans cesse...
Parfois elle est plus forte que l'amour,
Elle s'accompagne d'humour, de rires et de fêtes parfois,
Mais sa force est aussi de vous soutenir dans vos épreuves quotidiennes, mutuellement,
Les échanges d'idées et de paroles sont importantes,
Elles la nourrissent,
Et le bonheur n'est jamais loin alors,
L'amitié est cette fleur que l'on cueille un jour et qui ne se fleutrit jamais...
L'amitié sincère ne se perd jamais,
D'autres meurent de trop ingérences dans votre vie privée,
L'amitié qui naît à l'adolescence peut survivre toute une vie...
Elle peut naître d'un rien et vous accompagne tout au long de votre destin...
Je croirai toujours à la sincérité de l'amitié,
Même si parfois elle sera passagère...
C'est un sentiment noble...
Pascal MONDA
27/01/2020
C'est un sentiment noble qui naît entre deux personnes, entre deux hommes ou une femme et un homme...
Elle naît au gré des chemins de la vie,
D'une parole, d'un sourire ou d'un partage,
D'un repas frugal, d'une agape...
Elle vous surprend parfois et vient vers vous au moment où vous ne l'attendiez pas,
Et avec le temps, elle est comme un arbre, qui vibre au gré des saisoins, et qui grandit sans cesse...
Parfois elle est plus forte que l'amour,
Elle s'accompagne d'humour, de rires et de fêtes parfois,
Mais sa force est aussi de vous soutenir dans vos épreuves quotidiennes, mutuellement,
Les échanges d'idées et de paroles sont importantes,
Elles la nourrissent,
Et le bonheur n'est jamais loin alors,
L'amitié est cette fleur que l'on cueille un jour et qui ne se fleutrit jamais...
L'amitié sincère ne se perd jamais,
D'autres meurent de trop ingérences dans votre vie privée,
L'amitié qui naît à l'adolescence peut survivre toute une vie...
Elle peut naître d'un rien et vous accompagne tout au long de votre destin...
Je croirai toujours à la sincérité de l'amitié,
Même si parfois elle sera passagère...
C'est un sentiment noble...
Pascal MONDA
27/01/2020
L'ESPERANCE...
L'espérance est comme une femme, belle et jolie, à la peau blanche et diaphane...
L'espérance illumine nos nuits tant qu'il y a de la vie,
L'espérance est le chant du merle au printemps,
Printemps qui nous fait tous revivre,
L'espérance c'est ce bouquet de fleurs que vous offrez à votre maman pour sa fête des mères,
L'espérance c'est un sourire,
C'est la promesse du retour des beaux jours,
C'est la promesse du retour de l'amour,
L'espérance c'est la joie d'un enfant,
L'espérance c'est la joie de devenir amants,
L'espérance c'est tout simplement les paroles d'une chanson gaie...
L'espérance c'est aussi tout ce qui se fait avec Art et Passion,
L'espérance c'est la naissance de nouvelles amitiés,
L'espérance se base sur les vérités de la vie,
L'espérance c'est ton sourire que je peux lire sur tes douces lèvres,
L'espérance, c'est le retour de mon fils dans ma vie,
L'espérance bat dans mon coeur depuis toujours,
Car sans elle, malgré les aléas de la vie, celle-ci n'aurait pas été aussi forte et magique...
L'espérance c'est la promesse du retour de l'Amour...
Pascal Monda
24/01/2020
L'espérance illumine nos nuits tant qu'il y a de la vie,
L'espérance est le chant du merle au printemps,
Printemps qui nous fait tous revivre,
L'espérance c'est ce bouquet de fleurs que vous offrez à votre maman pour sa fête des mères,
L'espérance c'est un sourire,
C'est la promesse du retour des beaux jours,
C'est la promesse du retour de l'amour,
L'espérance c'est la joie d'un enfant,
L'espérance c'est la joie de devenir amants,
L'espérance c'est tout simplement les paroles d'une chanson gaie...
L'espérance c'est aussi tout ce qui se fait avec Art et Passion,
L'espérance c'est la naissance de nouvelles amitiés,
L'espérance se base sur les vérités de la vie,
L'espérance c'est ton sourire que je peux lire sur tes douces lèvres,
L'espérance, c'est le retour de mon fils dans ma vie,
L'espérance bat dans mon coeur depuis toujours,
Car sans elle, malgré les aléas de la vie, celle-ci n'aurait pas été aussi forte et magique...
L'espérance c'est la promesse du retour de l'Amour...
Pascal Monda
24/01/2020
Le Manque d'Amour...
Le manque d'amour, vous vient un jour,
Toujours après une rupture,
Il faut du temps pour réapprendre à vivre,
Et la solitude est votre seule maîtresse,
Le silence des soirées renforce encore ce sentiment,
Mais je sais que la patience et la sagesse,
Rouvriront les portes de l'amour,
L'espérance d'un amour meilleur,
Vous réchauffe alors le cœur,
Il faut pouvoir encore croire au bonheur,
Et le printemps vous apportera ses fleurs,
Le manque d'amour passera sûrement un jour....
Pascal Monda
23 janvier 2020
Toujours après une rupture,
Il faut du temps pour réapprendre à vivre,
Et la solitude est votre seule maîtresse,
Le silence des soirées renforce encore ce sentiment,
Mais je sais que la patience et la sagesse,
Rouvriront les portes de l'amour,
L'espérance d'un amour meilleur,
Vous réchauffe alors le cœur,
Il faut pouvoir encore croire au bonheur,
Et le printemps vous apportera ses fleurs,
Le manque d'amour passera sûrement un jour....
Pascal Monda
23 janvier 2020
LES AMOURS IMPOSSIBLES...
Ils naissent parfois du virtuel,
Et vous accaparent vite l'âme et le cœur,
Au point d'en perdre la raison,
Les émotions s'emballent alors,
Et l'on ne voit plus clair,
Mais parfois les vrais sentiments sont bien présents,
Comment le savoir ?
Au feeling, aux paroles qui ne trompent pas,
Et la distance n'arrange rien,
Il faut croire en son destin,
Les amours impossibles sont toutes fois possibles,
Si on leur laisse le temps d'éclore,
Comme une fleur au printemps...
Comme la rosée au mois d'avril,
Comme un printemps précoce...
Il faut croire à l'amour, sinon que nous reste-t-il ?
Pascal Monda
20/01/20
Et vous accaparent vite l'âme et le cœur,
Au point d'en perdre la raison,
Les émotions s'emballent alors,
Et l'on ne voit plus clair,
Mais parfois les vrais sentiments sont bien présents,
Comment le savoir ?
Au feeling, aux paroles qui ne trompent pas,
Et la distance n'arrange rien,
Il faut croire en son destin,
Les amours impossibles sont toutes fois possibles,
Si on leur laisse le temps d'éclore,
Comme une fleur au printemps...
Comme la rosée au mois d'avril,
Comme un printemps précoce...
Il faut croire à l'amour, sinon que nous reste-t-il ?
Pascal Monda
20/01/20
A une amie chère...
A une amie chère à mes yeux...
Je la connais depuis près de 10 ans maintenant,
D'abord, on a commencé par beaucoup rire ensemble,
Puis, l'on a partagé des moments intenses de vie,
Cela nous a rapprochés,
Nous n'étions pas riches tous les deux,
Mais le temps a allumé les feux de l'amitié entre nous,
Nous nous sommes confiés l'un à l'autre,
Comme un grand frère à sa petite sœur,
On a partagé des soirées et des repas frugaux,
Et quand elle a quitté ma ville,
Pour un avenir meilleur,
Nous n'avons jamais perdu le contact,
Elle a toujours été là pour moi,
Comme moi pour elle...
Même lors de mes passages difficiles,
Si vous êtes triste, elle vous fera rire,
Si vous êtes amoureux elle sera joyeuse pour vous,
Elle n'a pas eu la vie facile non plus,
Mais notre amitié l'a toujours un peu aidée,
C'est une petite femme, aux grands yeux bleus,
Elle ferait chavirer le cœur de tant d'hommes,
Mais sa plus grande qualité,
C'est celle de l'affection de son cœur,
Jamais elle ne vous oublie,
Fidèle et amitieuse, elle ferait tout pour moi,
Et c'est tout à fait réciproque...
Et puis, son autre grande qualité ; c'est l'écoute...
Partager l'amitié avec elle, est un réel bonheur...
A toi, Jenny
19/01/2020
Pascal Monda
Je la connais depuis près de 10 ans maintenant,
D'abord, on a commencé par beaucoup rire ensemble,
Puis, l'on a partagé des moments intenses de vie,
Cela nous a rapprochés,
Nous n'étions pas riches tous les deux,
Mais le temps a allumé les feux de l'amitié entre nous,
Nous nous sommes confiés l'un à l'autre,
Comme un grand frère à sa petite sœur,
On a partagé des soirées et des repas frugaux,
Et quand elle a quitté ma ville,
Pour un avenir meilleur,
Nous n'avons jamais perdu le contact,
Elle a toujours été là pour moi,
Comme moi pour elle...
Même lors de mes passages difficiles,
Si vous êtes triste, elle vous fera rire,
Si vous êtes amoureux elle sera joyeuse pour vous,
Elle n'a pas eu la vie facile non plus,
Mais notre amitié l'a toujours un peu aidée,
C'est une petite femme, aux grands yeux bleus,
Elle ferait chavirer le cœur de tant d'hommes,
Mais sa plus grande qualité,
C'est celle de l'affection de son cœur,
Jamais elle ne vous oublie,
Fidèle et amitieuse, elle ferait tout pour moi,
Et c'est tout à fait réciproque...
Et puis, son autre grande qualité ; c'est l'écoute...
Partager l'amitié avec elle, est un réel bonheur...
A toi, Jenny
19/01/2020
Pascal Monda
LA VIE...
La vie commence toujours par un cri,
Et la douceur d'une maman et d'un papa,
Parfois ce n'est pas toujours le cas,
Certains sont abandonnés,
Alors commencent les chemins tortueux,
Car la vie ne fait pas de cadeaux,
Et il faut s'accrocher, à l'espérance et l'amour,
Sans lesquels rien ne serait possible,
Certains ont la chance d'avoir une famille aimante,
D'autres ont moins de chance,
Tout commence déjà à l'enfance,
Les rêves se construisent au fond des yeux bleus des enfants, les passions naissent à l'adolescence,
Et les amours sont des feux de paille,
On entre alors de plein pied dans la vie réelle,
Ayant réussi ses études ou pas,
Il faut tenir le cap, aller de l'avant,
Ne jamais perdre courage, espoir...
Les années passent plus vite qu'on ne le pensait,
Les amours se donnent quelques temps avec bonheur, et parfois se lassent et finissent par casser,
Bien sûr, il y a aussi les amours aveugles,
Et ceux qui durent plus longtemps,
Heureusement les amitiés sincères durent,
Parfois fort longtemps, malgré les aléas de la vie...
Tant qu'on vit, tout est toujours possible,
Il faut pouvoir donner et se donner pleinement,
Bien sûr, il faut se méfier des requins,
Et des personnes malveillantes,
Le monde est parfois une poudrière,
Et l'on accorde trop d'importance au matériel,
Sans se préoccuper du spirituel,
Il faut pouvoir s'aimer réellement,
Sans se perdre,
Et depuis toujours nous savons que nous ne sommes pas éternels sur cette terre,
Alors ne perdons pas de temps et aimons nous vraiment...
Pascal Monda
16/01/2020
Et la douceur d'une maman et d'un papa,
Parfois ce n'est pas toujours le cas,
Certains sont abandonnés,
Alors commencent les chemins tortueux,
Car la vie ne fait pas de cadeaux,
Et il faut s'accrocher, à l'espérance et l'amour,
Sans lesquels rien ne serait possible,
Certains ont la chance d'avoir une famille aimante,
D'autres ont moins de chance,
Tout commence déjà à l'enfance,
Les rêves se construisent au fond des yeux bleus des enfants, les passions naissent à l'adolescence,
Et les amours sont des feux de paille,
On entre alors de plein pied dans la vie réelle,
Ayant réussi ses études ou pas,
Il faut tenir le cap, aller de l'avant,
Ne jamais perdre courage, espoir...
Les années passent plus vite qu'on ne le pensait,
Les amours se donnent quelques temps avec bonheur, et parfois se lassent et finissent par casser,
Bien sûr, il y a aussi les amours aveugles,
Et ceux qui durent plus longtemps,
Heureusement les amitiés sincères durent,
Parfois fort longtemps, malgré les aléas de la vie...
Tant qu'on vit, tout est toujours possible,
Il faut pouvoir donner et se donner pleinement,
Bien sûr, il faut se méfier des requins,
Et des personnes malveillantes,
Le monde est parfois une poudrière,
Et l'on accorde trop d'importance au matériel,
Sans se préoccuper du spirituel,
Il faut pouvoir s'aimer réellement,
Sans se perdre,
Et depuis toujours nous savons que nous ne sommes pas éternels sur cette terre,
Alors ne perdons pas de temps et aimons nous vraiment...
Pascal Monda
16/01/2020
LA LUNE IRISE DE SES RAYONS....
La lune irise de ses rayons diffus
Sa lumière blanche
Comme une bougie dans la nuit
Et perce le brouillard
Qui s'est couché sur la Sambre
L'ambiance est au calme et au rêve
Plus une péniche n'ose s'avancer
Le brouillard semble coller à l'eau
Dont les reflets me parviennent à peine
L'aube promet une belle journée
Malgré la froidure de l'hiver
La lune irise de ses rayons diffus
Sa lumière blanche,
L'amour viendra-t-il un jour ?
Pascal MONDA
15/01/2020
Sa lumière blanche
Comme une bougie dans la nuit
Et perce le brouillard
Qui s'est couché sur la Sambre
L'ambiance est au calme et au rêve
Plus une péniche n'ose s'avancer
Le brouillard semble coller à l'eau
Dont les reflets me parviennent à peine
L'aube promet une belle journée
Malgré la froidure de l'hiver
La lune irise de ses rayons diffus
Sa lumière blanche,
L'amour viendra-t-il un jour ?
Pascal MONDA
15/01/2020
MON AMOUR, JE VOUDRAIS
Je voudrais caresser ton visage,
Comme on foule le sable légèrement doré
D'une plage d'été,
Je voudrais caresser tes lèvres,
Du bout de mes doigts, tendrement et sensuellement,
Te susurrer des paroles chaudes à ton tendre coeur,
Je voudrais laisser glisser les mains de mon âme,
Tout le long des courbes de ton corps de femme,
Et poser mes lèvres au bout de tes seins,
Puis descendre sur ta peau douce et blanche, frémissante,
Et déposer des milliers de baisers, tendrement, passionnément
Jusqu'à ce que la lave du plaisir s'immisce au plus profond de ton être...
Pascal Monda
14/01/2020
Comme on foule le sable légèrement doré
D'une plage d'été,
Je voudrais caresser tes lèvres,
Du bout de mes doigts, tendrement et sensuellement,
Te susurrer des paroles chaudes à ton tendre coeur,
Je voudrais laisser glisser les mains de mon âme,
Tout le long des courbes de ton corps de femme,
Et poser mes lèvres au bout de tes seins,
Puis descendre sur ta peau douce et blanche, frémissante,
Et déposer des milliers de baisers, tendrement, passionnément
Jusqu'à ce que la lave du plaisir s'immisce au plus profond de ton être...
Pascal Monda
14/01/2020
MA VILLE DORT ENCORE...
Ma ville dort encore,
L'obscurité règne encore,
Dehors,quelques bruits de voitures me parviennent,
A travers mes fenêtres occultées,
D'ici peu, j'entendrai les écoliers passer,
Et la vie reprendra son cours,
Ma ville dort encore,
Et je rêve d'amours,
D'un jour ou plus longs,
Chargés d'émotions et de tendresses,
Ma ville dort encore,
Nul bruit dans ma maison,
A part Souchon qui passe à la radio,
La lumière du jour traîne à se lever,
Ma ville dort encore,
La nuit a été calme pour une fois,
Et mes rêves m'ont ramené en Italie,
Pays de ma famille,
Ma ville dort encore,
Et j'espère le jour, autant que l'amour...
Pascal MONDA
13/01/2020
L'obscurité règne encore,
Dehors,quelques bruits de voitures me parviennent,
A travers mes fenêtres occultées,
D'ici peu, j'entendrai les écoliers passer,
Et la vie reprendra son cours,
Ma ville dort encore,
Et je rêve d'amours,
D'un jour ou plus longs,
Chargés d'émotions et de tendresses,
Ma ville dort encore,
Nul bruit dans ma maison,
A part Souchon qui passe à la radio,
La lumière du jour traîne à se lever,
Ma ville dort encore,
La nuit a été calme pour une fois,
Et mes rêves m'ont ramené en Italie,
Pays de ma famille,
Ma ville dort encore,
Et j'espère le jour, autant que l'amour...
Pascal MONDA
13/01/2020
NOUS NOUS AIMERIONS...
Nous nous aimerions,
Comme des amants fous épris l'un de l'autre,
L'amour nous porterait dans la vie,
Et forts de cela,
Plus rien ne serait pareil,
Nous nous aimerions sur une chanson de Gilbert Montagné,
Nous garderions en nous toute sa gaieté,
La joie serait notre leitmotiv,
Et le rire le fruit de nos partages,
Nous nous aimerions,
Physiquement et pleinement,
Dans les bras l'un de l'autre,
Simplement et tendrement,
Nous nous aimerions,
D'un amour vrai comme celui des enfants,
Tout emplis de vérité et de complicité,
De respect et de confiance mutuelles,
Nous nous aimerions,
De cet amour qui abat les murs du silence,
Nos jeux auraient un parfum d'insouciance,
Mais tout en conscience...
Nous nous aimerions...
Pascal MONDA
11/012020
Comme des amants fous épris l'un de l'autre,
L'amour nous porterait dans la vie,
Et forts de cela,
Plus rien ne serait pareil,
Nous nous aimerions sur une chanson de Gilbert Montagné,
Nous garderions en nous toute sa gaieté,
La joie serait notre leitmotiv,
Et le rire le fruit de nos partages,
Nous nous aimerions,
Physiquement et pleinement,
Dans les bras l'un de l'autre,
Simplement et tendrement,
Nous nous aimerions,
D'un amour vrai comme celui des enfants,
Tout emplis de vérité et de complicité,
De respect et de confiance mutuelles,
Nous nous aimerions,
De cet amour qui abat les murs du silence,
Nos jeux auraient un parfum d'insouciance,
Mais tout en conscience...
Nous nous aimerions...
Pascal MONDA
11/012020
Il PLEUT
Il pleut et la pluie a fait des claquettes sur mes fenêtres cette nuit,
Avec son rythme régulier et fort,
Elle s'est mise à chanter et m'a réveillé,
J'ai eu beau essayer de me rendormir,
Mais elle était si insistante,
Je me tournais dans mon lit,
Sans retrouver le sommeil,
Je me suis mis à penser à ma belle,
Et le rêve m'a pris par la main,
J'ai imaginé ses seins,
Ses hanches pleines,
Son doux sourire,
Et ses lèvres amoureuses,
Il peut pleuvoir encore et encore,
La petite mort m'emplit mes rêves et mon esprit,
Je renais à la vie,
Il pleut...
Et je ne dors plus,
Je plane au-dessus de mon propre corps...
Il pleut,
Et le jour est encore loin de se lever,
En ce matin d'hiver...
Où je t'espère...
Il pleut...
Pascal Monda
10/01/2020
Avec son rythme régulier et fort,
Elle s'est mise à chanter et m'a réveillé,
J'ai eu beau essayer de me rendormir,
Mais elle était si insistante,
Je me tournais dans mon lit,
Sans retrouver le sommeil,
Je me suis mis à penser à ma belle,
Et le rêve m'a pris par la main,
J'ai imaginé ses seins,
Ses hanches pleines,
Son doux sourire,
Et ses lèvres amoureuses,
Il peut pleuvoir encore et encore,
La petite mort m'emplit mes rêves et mon esprit,
Je renais à la vie,
Il pleut...
Et je ne dors plus,
Je plane au-dessus de mon propre corps...
Il pleut,
Et le jour est encore loin de se lever,
En ce matin d'hiver...
Où je t'espère...
Il pleut...
Pascal Monda
10/01/2020
Elle
Elle,
Elle est charmante , séduisante,
Simplement elle est venue vers moi,
Elle m'a offert son amitié,
Sans que je ne lui donne rien,
Elle m'a donné son écoute et sa gentillesse,
Et nous sommes devenus des amis,
Si bien que pendant mes moments difficiles,
Elle m'a été d'un grand soutien,
Elle ne m'a pas laissé seul,
Jour après jour,
Nos liens se sont tissés,
Jamais elle ne dit un mot plus haut qu'un autre,
Et toujours elle garde son humour et son sourire,
J'aimerais que notre amitié toujours soit grandissante,
Elle est...
A toi, Florence,
Pascal Monda
09/01/2020
Elle est charmante , séduisante,
Simplement elle est venue vers moi,
Elle m'a offert son amitié,
Sans que je ne lui donne rien,
Elle m'a donné son écoute et sa gentillesse,
Et nous sommes devenus des amis,
Si bien que pendant mes moments difficiles,
Elle m'a été d'un grand soutien,
Elle ne m'a pas laissé seul,
Jour après jour,
Nos liens se sont tissés,
Jamais elle ne dit un mot plus haut qu'un autre,
Et toujours elle garde son humour et son sourire,
J'aimerais que notre amitié toujours soit grandissante,
Elle est...
A toi, Florence,
Pascal Monda
09/01/2020
Nous serions
Nous serions,
Nous serions amis et amants,
Nous nous donnerions l'un à l'autre,
Nous partagerions la vie,
Nous parlerions sans cesse,
Nous nous donnerions de l'amour,
Tout simplement, tout en confiance,
Nous serions,
Amis et amants,
Nous nous baladerions en pleine nature,
Nous vivrions une nouvelle aventure,
Et le bonheur serait croissant,
Comme un clair de lune,
Nous serions amis et amants...
Pascal Monda
08/01/2020
Nous serions amis et amants,
Nous nous donnerions l'un à l'autre,
Nous partagerions la vie,
Nous parlerions sans cesse,
Nous nous donnerions de l'amour,
Tout simplement, tout en confiance,
Nous serions,
Amis et amants,
Nous nous baladerions en pleine nature,
Nous vivrions une nouvelle aventure,
Et le bonheur serait croissant,
Comme un clair de lune,
Nous serions amis et amants...
Pascal Monda
08/01/2020
JE REVE DE VOUS...
Je rêve de vous
Je vous imagine belle et sensuelle,
Je vous imagine gaie et romantique,
Mes rêves s'envolent vers vous que je ne connais pas encore,
Je vous imagine me parlant d'amour sans cesse,
Je vous imagine me parlant de tout et de rien,
Et je me trouverais bien,
Je vous imagine avec de grands yeux bleus,
Avec une longue chevelure blonde, descendant sur vos épaules,
Je rêve de vous que je ne connais pas encore,
Mon imagination me porte au large de mes sensations...
Je rêve de vous,
© Pascal Monda
07/01/2020
Je vous imagine belle et sensuelle,
Je vous imagine gaie et romantique,
Mes rêves s'envolent vers vous que je ne connais pas encore,
Je vous imagine me parlant d'amour sans cesse,
Je vous imagine me parlant de tout et de rien,
Et je me trouverais bien,
Je vous imagine avec de grands yeux bleus,
Avec une longue chevelure blonde, descendant sur vos épaules,
Je rêve de vous que je ne connais pas encore,
Mon imagination me porte au large de mes sensations...
Je rêve de vous,
© Pascal Monda
07/01/2020
LE JOUR SE LEVE A PEINE....
Le jour se lève à peine
Le ciel rose d'un matin d'hiver me réveille tranquillement,
La nuit a été froide, et mes fenêtres sont givrées,
Le café noir m'a réchauffé,
Mais ton corps près du mien m'a manqué,
Le jour se lève à peine,
Et déjà je me demande ce que tu fais chez toi,
Mes pensées s'envolent vers toi,
comme des montgolfières,
Gonflées de gaz...
Le jour se lève à peine,
La nuit a été calme et réparatrice,
La lumière du soleil s'élève calmement au-dessus des toits de ma ville,
Endormie encore, sous ce froid d'hiver...
Le jour se lève à peine,
Et ma plume est bien éveillée,
Mes mots coulent sur la page blanche,
Et ma poésie s'envole à travers les circuits invisibles d'internet vers vous..
Le jour se lève à peine,
Et mes rêves volent vers elle...
© Pascal MONDA
06/01/2020
Le ciel rose d'un matin d'hiver me réveille tranquillement,
La nuit a été froide, et mes fenêtres sont givrées,
Le café noir m'a réchauffé,
Mais ton corps près du mien m'a manqué,
Le jour se lève à peine,
Et déjà je me demande ce que tu fais chez toi,
Mes pensées s'envolent vers toi,
comme des montgolfières,
Gonflées de gaz...
Le jour se lève à peine,
La nuit a été calme et réparatrice,
La lumière du soleil s'élève calmement au-dessus des toits de ma ville,
Endormie encore, sous ce froid d'hiver...
Le jour se lève à peine,
Et ma plume est bien éveillée,
Mes mots coulent sur la page blanche,
Et ma poésie s'envole à travers les circuits invisibles d'internet vers vous..
Le jour se lève à peine,
Et mes rêves volent vers elle...
© Pascal MONDA
06/01/2020
JE VOUS ESPERE
Je vous espère,
Vous la femme que je ne connais pas encore,
Je vous espère, gentille et amoureuse,
Je vous espère souriante et attentionnée,
Je vous espère, tendre et câline,
Je vous espère, chassant ma solitude,
Je vous espère, tout près de moi,
Me prenant les mains,
Et me soufflant des mots doux à l'oreille...
Je vous espère,
Pascal Monda
05/01/2020
Vous la femme que je ne connais pas encore,
Je vous espère, gentille et amoureuse,
Je vous espère souriante et attentionnée,
Je vous espère, tendre et câline,
Je vous espère, chassant ma solitude,
Je vous espère, tout près de moi,
Me prenant les mains,
Et me soufflant des mots doux à l'oreille...
Je vous espère,
Pascal Monda
05/01/2020
Je pense à vous...
Je pense à vous
Je pense à vous ma mie, mon soleil du printemps, ma mésange chantante...
Je pense à vous, je vous imagine libre et belle,
Je pense à vous, je crois en vous,
Je pense à vous, sincèrement,amicalement,
Je pense à vous,en ces jours d'hiver,
Où vous vous calfeutrez bien au chaud chez vous,
Je pense à vous, avec tendresse,
Je pense à vous, avec délicatesse,
Je pense à vous ma mie, étoile filante portant bonheur,
Je pense à vous, le ciel s'éclaire de bleu,
Je pense à vous, et mon coeur est en feu,
Je pense à vous, et mon âme plane vers vous,
Je pense à vous, et mes rêves volent vers vous,
Je pense à vous ma mie, en ce matin gelé d'hiver....
© Pascal MONDA
03/01/2019
Je pense à vous ma mie, mon soleil du printemps, ma mésange chantante...
Je pense à vous, je vous imagine libre et belle,
Je pense à vous, je crois en vous,
Je pense à vous, sincèrement,amicalement,
Je pense à vous,en ces jours d'hiver,
Où vous vous calfeutrez bien au chaud chez vous,
Je pense à vous, avec tendresse,
Je pense à vous, avec délicatesse,
Je pense à vous ma mie, étoile filante portant bonheur,
Je pense à vous, le ciel s'éclaire de bleu,
Je pense à vous, et mon coeur est en feu,
Je pense à vous, et mon âme plane vers vous,
Je pense à vous, et mes rêves volent vers vous,
Je pense à vous ma mie, en ce matin gelé d'hiver....
© Pascal MONDA
03/01/2019
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