Merci à toi, l'hiver, tu peux être fier,
Même si tu as mis du temps à venir,
Ton soleil a mis du baume sur notre avenir,
La nature a repris ses droits,
On a vu des envolées de cigognes,
Des vols d'oies en couple, ou en groupe,
Et le merle qui chante toujours en premier,
Sans parler des petites mésanges charbonnières...
Merci à toi l'hiver,
Tu prépares le printemps à ton aise,
Surtout prends tout ton temps,
l'année 2020 et son coronavirus ont contaminé le monde entier,
la faucheuse des temps passés est revenue, sans crier gare...
Toutes les villes d'Europe, sont des villes mortes,
Interdiction formelle de sortir de chez soi,
Sauf pour aller se ravitailler en nourriture et aller à la pharmacie,
Temps de crise mondiale et d'une guerre bactériologique !
Que deviennent nos petits vieux et nos enfants ?
Bien plus fragiles que nous !
Et mon beau pays, l'Italie, de la Rome Antique, de Florence, de Rome, de Naples et de son majestueux Vésuve ne ressemblera plus jamais à ce qu'il était...
Son vin rouge, aux tanins forts et mauves sera-t-il encore le même ?
Mais ce que je sais, c'est que mon pays se relèvera non grâce à ses politiciens,
mais au sens d'entraide et de partage familial de la vie...
Le plat Pays renaîtra, mais se divisera à cause de la bête noire, heureusement que nous sommes devenus solidaires nous les enfants d'immigrés de la première génération et que malgré le manque de travail nous gardons le moral...
Merci sieur l'Hiver...
Pasquale Monda
30 mars 2020
LE RIRE DES ENFANTS...
Le rire d'un enfant est un rayon de soleil,
Comme des perles de merveilles,
Le rire d'une enfant est naturel,
Il ne cache rien, comme celui faux des adultes...
Le rire d'un enfant libère et nous fait sourire,
Nulle frontières entre eux,nulles barrières,
Pourtant il y a toujours un plus faible à qui l'on fait des misères...
Le rire d'une enfant est fragile, et proche des larmes,
Mais quand la grand-mère est là, l'arc-en-ciel n'est jamais loin...
Et parfois, l'amour s'en mêle, et viennent les déchirures, qui d'aventures en aventures, vous ôtent votre sourire d'enfant toute votre vie...
Et quand vous avez des enfants, que l'on vous vole,
Tout est toujours à refaire, et votre coeur de père,
Saigne à perdre son souffle, il faut alors se faire un cœur de pierre...
Mais il ya tant d'enfants qui ont la joie en eux,
Que cela me console... leurs yeux sont plein d'espoirs...
Pascal MONDA
27 mars 2020
Comme des perles de merveilles,
Le rire d'une enfant est naturel,
Il ne cache rien, comme celui faux des adultes...
Le rire d'un enfant libère et nous fait sourire,
Nulle frontières entre eux,nulles barrières,
Pourtant il y a toujours un plus faible à qui l'on fait des misères...
Le rire d'une enfant est fragile, et proche des larmes,
Mais quand la grand-mère est là, l'arc-en-ciel n'est jamais loin...
Et parfois, l'amour s'en mêle, et viennent les déchirures, qui d'aventures en aventures, vous ôtent votre sourire d'enfant toute votre vie...
Et quand vous avez des enfants, que l'on vous vole,
Tout est toujours à refaire, et votre coeur de père,
Saigne à perdre son souffle, il faut alors se faire un cœur de pierre...
Mais il ya tant d'enfants qui ont la joie en eux,
Que cela me console... leurs yeux sont plein d'espoirs...
Pascal MONDA
27 mars 2020
LES SENTIMENTS
les sentiments grandissent avec nous,
ils nous rendent heureux ou malheureux,
Surtout si l'on tombe amoureux,
Les sentiments peuvent durer des années,
Et se terminer par l'indifférence ou le laisser aller,
IL se logent dans l'âme et le cœur,
D'habitude ils fleurissent le bonheur,
Mais quand la cassure est inévitable,
Les cœurs se déchirent, et les mots se meurent,
l'amitié est alors seule encore possible...
L'espérance est inutile, et les paroles sont cassantes et dures...
IL faut pouvoir faire son deuil, et noyer ses illusions,
les sentiments peuvent être si proches un temps,
Et mourir dans l'absence et le silence...
Reviennent les vrais sentiments,
le printemps n'est plus loin...
Pascal Monda
26/03/2020
ils nous rendent heureux ou malheureux,
Surtout si l'on tombe amoureux,
Les sentiments peuvent durer des années,
Et se terminer par l'indifférence ou le laisser aller,
IL se logent dans l'âme et le cœur,
D'habitude ils fleurissent le bonheur,
Mais quand la cassure est inévitable,
Les cœurs se déchirent, et les mots se meurent,
l'amitié est alors seule encore possible...
L'espérance est inutile, et les paroles sont cassantes et dures...
IL faut pouvoir faire son deuil, et noyer ses illusions,
les sentiments peuvent être si proches un temps,
Et mourir dans l'absence et le silence...
Reviennent les vrais sentiments,
le printemps n'est plus loin...
Pascal Monda
26/03/2020
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