Au fond de tes yeux,
Il y a le bleu du ciel et de l'arc-en-ciel,
Au bord de tes lèvres,
Il y a une mer de sel,
Au bord de tes sourires,
Règne le roi Bonheur,
Au bord de tes rires,
Règne l'empire du bonheur,
Au large de ton visage,
Souffle le vent de ta jeunesse,
Au large de ton visage,
Souffle le vent chaud de l'Italie,
Aux Rythme de ton coeur,
Bat la chamade de l'amour,
Au rythme de ton coeur,
Vibrent mille sensations d'allégresse,
Au lignes courbes et douces de tes seins,
Chante l'amour du petit matin,
Aux lignes sinueuses de tes reins,
Chante l'amour son destin,
Aux vibrations émanant de ton corps de femme
Je sens la flamme de ton doux karma...
Et la terre peut tourner autour de moi,
Au plus profond de tes yeux bleus je me laisse noyer...
Pasquale MONDA
31/12/2018
Je voudrais...
Je voudrais,
Regarder une toile de Monet,
Et par la magie d'un voyage astral,
Me retrouver en 1880.
Me balader dans les paysages champêtres et enchanteurs
Du peintre...
Me perdre au gré de ses couleurs, de sa lumière et du bonheur
Du peintre...
Je voudrais,
M'asseoir auprès de lui, pendant qu'il peint,
Et parler de la vie et du destin,
Entrer en communion avec son âme d'artiste,
Je voudrais,
Toucher du bout des yeux son horizon et ses visions,
Effleurer de la main ses pinceaux,
Et me fondre dans la nature,
Des impressionnistes...
Pasquale Monda
27/12/2018
Regarder une toile de Monet,
Et par la magie d'un voyage astral,
Me retrouver en 1880.
Me balader dans les paysages champêtres et enchanteurs
Du peintre...
Me perdre au gré de ses couleurs, de sa lumière et du bonheur
Du peintre...
Je voudrais,
M'asseoir auprès de lui, pendant qu'il peint,
Et parler de la vie et du destin,
Entrer en communion avec son âme d'artiste,
Je voudrais,
Toucher du bout des yeux son horizon et ses visions,
Effleurer de la main ses pinceaux,
Et me fondre dans la nature,
Des impressionnistes...
Pasquale Monda
27/12/2018
DITES LE AVEC UNE FLEUR...
"Ne lui dites jamais plus :"Je t'aime" avec des mots, mais avec des fleurs !"
Pasquale Monda © 12/12/2018
LA BELLE FILLE DU SUD
Le regard brun brûlant de lave,
Les cheveux noirs jais,
Déposés délicatement sur ses épaules,
La belle fille du sud avait les hanches pleines.
Si bien que l'on y aurait laissé glisser,
Des mains de porcelaine,
Toutes chaudes, comme des pierres chauffées au soleil du midi...
Ses longs cheveux dégoulinaient de perles de beauté,
Ses regards étaient des braises,
Ses lèvres roses étaient charnues,
De celles que l'on ne veut quitter.
La belle fille du sud,
Les hanches rondes et pleines oscillaient de gauche à droite,
Invitant le regard aux plaisirs de l'amour et de la volupté...
La belle fille du sud...
Pasquale Monda © 06/12/2018
Mon amour, je voudrais...
Je voudrais caresser ton visage,
Comme on foule le sable légèrement d'une plage d'été,
Je voudrais caresser tes lèvres,
Du bout de mes doigts, tendrement, sensuellement,
Te susurrer des paroles chaudes à ton cœur,
Je voudrais laisser glisser les mains de mon âme,
Tout le long des courbes de ton corps de femme,
Et poser mes lèvres au bout de tes seins,
Puis descendre sur ta peau blanche frémissante,
Et déposer des milliers de baisers, tendrement, passionnément,
Jusqu'à ce que la lave du plaisir s’immisce au plus profond de ton être...
A toi que j'aime...
Pasquale Monda © 05/12/2018
NOSTALGIE...
Un piano qui pianote
dans la nuit obscure des souvenirs,
Une cigarette qui
brûle dans un cendrier au carrefour de ma vie,
Nostalgie,
Tellement loin, mais
toujours aussi près,
Son cœur bat en
moi,
Mes souvenirs jouent
leur mélodie du bonheur,
Un piano qui
pianote,
Quelques notes de
mon enfance et de mon adolescence,
Nostalgie,
Il suffit d’une
note pour leur redonner vie,
Car chaque jour qui
passe me renvoie aux moments de joies passés avec eux,
Nostalgie,
Quand elle vient en
vous, surtout chassez les idées noires et pensez au bien qu’ils
ont laissé en vous et leur musique qui vous revient au creux de
votre âme,
Sachez qu’ils vous
aimaient,
Et qu’ils vibrent
encore en vous,
Nostalgie...
Pascal Monda ©
05/12/2018
Comme elle était belle...
Comme elle était belle...
Comme elle était belle,
Elle qui nous a tout donné,
Depuis la nuit des temps et des millénaires.
Comme elle était belle,
Notre planète bleue,
Elle s'est offerte à nous,
Comme une mère donne le sein à son premier enfant.
Comme elle était belle,
La nature était liée au cosmos,
Et nous étions heureux d'y vivre,
Libres des chaînes de la misère.
Comme elle était belle,
Nous étions tous frères,
Loin des guerres,
Et des feux de la cupidité des hommes.
Comme elle était belle,
Nous avions des compagnons magnifiques,
Presque tous en voie d'extinction maintenant.
Qu'avons nous fait aux forêts, aux fleuves et rivières,
Qu’avons nous fait aux océans et ses habitants,
Qu'avons nous fait à la stratosphère?
Quelle folie destructrice et folle nous emmènera-t-elle également ?
J'aimerais croire qu'au fond de nous brûle une petite flamme qui nous éveillera et éclairera vers plus de respect de notre mère à toutes et tous, notre belle planète bleue...
Pasquale Monda 01/12/2018 ©
Les jours d'automne
Les jours d'automne...
Lorsque l'automne dépose ses dorures aux branches des arbres,
Que le soleil s'y réflète doucement sous la brise,
Lorsque les jours rapetissent peu à peu,
Je rêve aux chemins ardennais de mon enfance...
Lorsque le ciel garde sa couleur bleue,
L'espérance se glisse dans mon coeur,
Lorsque le temps semble s'arrêter,
Je rêve aux chemins ardennais de mon enfance...
Lorsque les soirs d'automne tombent
Silencieusement,
Les nuits fraîchissent et deviennent propices,
Aux rêves perdus de mon enfance...
Mon âme se souvient et mes rires égayent ma poésie...
Lorsque l'automne dépose ses dorures aux branches des arbres...
Pascal Monda
© 05/11/2018
© 05/11/2018
Quand la Sambre se meurt un matin de brume...
Lorsque au matin de novembre la brume s'élève de la Sambre,
Le jour a peine à se réchauffer,
Lorsque la Sambre se meurt à son confluent la Meuse,
Le grognon a perdu son histoire et la citadelle pleure...
Lorsque la Hall'al Chair trembled'effroi,
De voir les pelleteuses et les fleurons de la modernité,
Envahir son espace...
Chaque jour Namur perd un peu de son âme...
PM 03/11/2018
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