Le Ciel pleurait des Larmes Alcalines...



Le ciel pleurait des larmes alcalines,
Que mon cœur t'avait glissées
Sous tes paupières saupoudrées de bleu...

Mon âme laissait couler des gouttes d'eau chaude,
Que  mon cœur épongeait sur tes douces lèvres amoureuses...

Mes yeux amoureux cherchaient les étoiles,
Tu te réveillais peu à peu et mes rêves avaient éclaté...

Mon corps frémissait sous les caresses de tes tendres mains...

J'espérais embrasser tes seins et je dessinais tes courbes onduleuses du bout de mes doigts ...

Pascal Monda
1er Mai 2020

Photo tirée du web.
 

La femme et la pluie....




Quand tu es loin de moi,
Je suis si près de toi,
En pensées et en rêves,
Et mon cœur bat de bonheur...

Quand il pleut sur mon toit,
La pluie me parle de toi tout bas,
Je te revois,
Les cheveux longs noirs, couleur jais,
Collés sur tes épaules,
Et ta chemise blanche laissant transparaître,
La pointe de tes jolis petits seins blancs d'albâtre...

A toi,

Pasquale Monda
Namur le 26 avril 2020

Photo de Mme Carole Richter
Poétesse et photographe d'art...

JE VEUX CROIRE....

Je veux croire encore en l'Amour,
Celui qui vous vient,là, alors que vous ne l’attendiez pas,
Celui qui vous fait battre dans le cœur,
Les sentiments du bonheur...

Je veux croire encore en l'Amour,
Pas celui qui rime avec toujours,
Mais qui vibre jour après jour,
En vous, tout simplement...

Je veux croire encore en l'Amour,
Peu m'importe l'alizée qui me l'apporte,
Tant qu'il rime avec sincérité,
Et vérité...

Je veux croire en cet Amour,
Libre et  généreux,
Loin d'être Fol,
Mais bien réel...

Je veux croire encore en l'Amour,
Celui qui rend jeune, et fort,
Dans ce monde d'égoïsmes,
Et de plaisirs si volatiles...

Je  veux croire encore en cet Amour naissant,
Mais qui parfois me fait encore peur,
Moi qui aime les fleurs,
A la fois, parfumées et colorées,
De rouge sang...

Je voudrais encore tellement croire en l'Amour...

Pascal Monda
Namur le 21/04/2020

Poème écrit dans le silence de la nuit...

Mesdames, Mesdemoiselles...

Mesdames, Mesdemoiselles,

Ah ! Que vous étiez belles,
Jeunes, jolies,  sensuelles mais si cruelles,
Ah ! Que de nuits où les corps exultaient,
Pour grimper aux septièmes cieux...

Vous allumiez le feu, les flammes et vous en faisiez un jeu !
Allant de cœurs en cœurs, 
Nous faisant croire aux joies d'un bonheur, menteur !
Mais vous ne saviez pas que la beauté n'était qu'intérieure et bien plus chaleureuse,
Que vous ! Mesdames, Mesdemoiselles !

Ah ! Que vous étiez belles et pourtant si superficielles,
Entreprenantes, rarement timides faussement gentilles,
Vous nous parliez d'amour, mais ce n'étaient qu'illusions,
De charmes dévoilés, sans pudeur, sans cœur ni signe de vrais bonheurs ! 
Mesdames, Mesdemoiselles !

Alors, si vous êtes de ce genre là, sans gênes ni vergogne,
Passez votre chemin...
Mon cœur n'est plus à prendre...

Je persiste et signe, je m'appelle Pascal Monda....

Namur, le 18/04/2020

A TOI MON ETOILE DU JOUR.....

Il y a des étoiles du jour,
Et celles de la nuit,
Comme les lucioles, 


Toi, tu es mon étoile du jour,
Qui est bien visible,
Le jour comme la nuit,

Toi, tu viens pour le printemps,
J'entends déjà le son de ta voix,
Signe que l'hiver  s'en ira plus vite,
Que l'année l'année passée,

je sens en moi ta voix comme le chant des oiseaux,
qui sont revenus et font leurs nids,
signe que renaît la vie,
Tout au fond de moi...

Toi, tu es et seras mon étoile,
Bien visible à mes yeux et à mon coeur,
De jour comme de nuit...

Pasquale Monda
15/04/2020

IL PLEURE SUR LA VILLE MORTE...

Il pleure sur la ville morte...

Il pleut sur la ville morte,
Comme une vieille Romance,
Au printemps qui commence...

Il pleut, et le vent chasse la pluie,
Sur les toits des maisons, où est recluse toute vie,
Dans un matin des plus silencieux...

Il pleut, et mes espoirs d’amour sont tout à fait morts,
Comme un très vieux chêne que l’on va abattre,
Pour faire un feu de joie...

Il pleut, mais les beaux jours s’avancent,
Dans les jours de la chance,
Toujours et encore à venir...

Il pleut, mais la Citadelle de Vauban tient bon !
Dominant son éternel Grognon,
Où s’agitent les pantins, d’un avenir mafieux et douteux...

Il pleut, et mon cœur pleure pour tous ces manants,
Qui n’ont qu’une croûte de pain sec et dur,
Pour unique pitance et unique chagrin...

Il pleut, sur la ville mortellement endormie,

Dans ses temps dangereux où rôde la Faucheuse comme la Peste et le Choléra autrefois...

Pascal Monda - CHR le 21/03/2020.



La femme à la robe et au parfum de lilas....

Lorsque je la vis pour la première fois,
Elle marchait tranquillement devant moi,
Ses cheveux d'or dégoulinant sur ses épaules,
Elle portait une robe, légère, à fleurs...

Elle était pareille à une rose...
J'aurais aimé la prendre par la main, puis la prendre par la taille dans mes bras, et l'embrasser tendrement...

Et qui sait, un jour l'enlacer d'amour...

Lorsque je la vis pour la première fois,
Je respirai son parfum de femme-fleur, qui emplit mon cœur de bonheur... 

Il  se mit à battre la chamade...

Je renaissais enfin au printemps de l'amour et aux senteurs des lilas...

Elle portait une robe à fleurs...

11/04/2020

Pascal Monda

Les mots damour tués d'un seul coup...

Je ne t'écrirai plus,
Je ne te parlerai plus,
Je ne t'écouterai plus,

Tu as joué les grands cœurs,
Comme tu savais si bien le faire,

Et le faire croire...
Et me faire croire à l'espoir...
Comme dans toute notre histoire,

Illusions d'amitié,
Silence que tu adores, comme de l'or,

Tes mots ont tué, d'un coup de ton cœur empli de béton,
mes vers, dont tu n'as plus rien à faire,
Alors que tu voulais encore être mon amie...

Je ne crois  plus en  tes paroles qui sonnent faux dans ta bouche...
De toi, je ne veux plus rien savoir...

C'est petit, tout petit...
que de temps perdu pour rien,
alors que tu disais m'aimer,
Pourtant autrefois tu me l'avais prouvé,

Ton orgueil mal placé, n'a pas supporté que je te dise tes vérités,
Et ton mutisme et égoïsme a eu raison de mon amour...

Laisse moi, faire mon deuil, et sache que tu finiras toute seule..

Tu n'as même plus voulu écouter ni lire, mes promesses d'un nouveau départ...
En fait, tu as montré ton vrai visage et ton âme de femme pourrie gâtée, que tu cachais bien au fond de toi...

Merci pour ton éternelle gentillesse et tes mots coupants, durs, et blessants,

Je ne veux pas d'une amitié, fausse et illusoire...


Je ne veux plus te parler,
Ni t'écrire, ni entendre même le souffle de ta voix...

Oublie moi, comme tu le fais déjà si bien...

A vous, Madame !

je persiste et signe, je m'appelle Pascal Monda...

08/04/2020

LORSQUE LE CORPS SE MEURT...

LORSQUE LE CORPS...

Lorsque le corps n’exulte plus
Est-ce que l''amour se meurt ?

Lorsque le corps ne s’émeut plus
Est-ce que l’amour est mort ?

Lorsque le corps ne répond plus
Est-ce que l’amour est en train de mourir?

Lorsque la petite bougie s’éteint peu à peu
Que l’on met ses mains pour qu’elle continue de veiller,
Est-ce que sa flamme chaude peut se raviver ?

Lorsque la passion s’est endormie avec la migraine,
Peut-on encore se permettre de la réveiller ?

Lorsque le temps a érodé toute émotion et assassiné  les sentiments,
D''orages en ouragans et de tempêtes en tornades,
Peut-on encore prendre la mer ? alors que se prépare un tsunami?

Lorsque le corps ne chante plus, même plus : O Sole Mio !
Que reste-t-il de «l''AMORE» ?

Vous, votre majesté, vous avez guillotiné ce qu’il me restait de tendresse,
Chassé toutes mes caresses...
Et avant cela, vous avez joui et pris votre plaisir à me rendre
Le Castra de l'Amour...

Lorsque le corps...

Pascal Monda
06/04/2020

Aphorismes II

  "L' aube du jour, mon autre déclaration d'amour..." "Le rêve d'un regard à la fenêtre d'un hiver joyeux...&...