Mesdames, Mesdemoiselles...

Mesdames, Mesdemoiselles,

Ah ! Que vous étiez belles,
Jeunes, jolies,  sensuelles mais si cruelles,
Ah ! Que de nuits où les corps exultaient,
Pour grimper aux septièmes cieux...

Vous allumiez le feu, les flammes et vous en faisiez un jeu !
Allant de cœurs en cœurs, 
Nous faisant croire aux joies d'un bonheur, menteur !
Mais vous ne saviez pas que la beauté n'était qu'intérieure et bien plus chaleureuse,
Que vous ! Mesdames, Mesdemoiselles !

Ah ! Que vous étiez belles et pourtant si superficielles,
Entreprenantes, rarement timides faussement gentilles,
Vous nous parliez d'amour, mais ce n'étaient qu'illusions,
De charmes dévoilés, sans pudeur, sans cœur ni signe de vrais bonheurs ! 
Mesdames, Mesdemoiselles !

Alors, si vous êtes de ce genre là, sans gênes ni vergogne,
Passez votre chemin...
Mon cœur n'est plus à prendre...

Je persiste et signe, je m'appelle Pascal Monda....

Namur, le 18/04/2020

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Aphorismes II

  "L' aube du jour, mon autre déclaration d'amour..." "Le rêve d'un regard à la fenêtre d'un hiver joyeux...&...