Namur était un lit de fleuves





Le jour avait ouvert
La porte de mes songes et de mes rêves
Rongeant le temps qui passe.

L’aube avait ouvert
La porte de mes rêves
Et tu y étais entrée
Libre et amoureuse.

Mes rêves étaient bleus
Le ciel s’ouvrait à toutes mes espérances
Et je ne pensais qu’à toi.

Namur était un lit de fleuves
Où mon âme voguait sur tes baisers
Libéré de tous mes fantasmes…

Pascal Monda
© 07/05/2019

Aphorismes II

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